Or qui soxyde

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Author: Admin | 2025-04-28

Une étape de plus est franchie dans le bras de fer judiciaire qui oppose la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ) à l’homme d’affaires controversé Benoît Laliberté. La Cour d’appel a récemment tranché en faveur du gardien des sols cultivables qui, depuis quatre ans, tente de faire démanteler des installations de minage de cryptomonnaies installées sans autorisation sur des terres agricoles de bonne qualité.Avec sa décision, la Cour d’appel refuse à l’homme d’affaires controversé une demande qui aurait eu pour effet de freiner des démarches entamées par la CPTAQ. L’organisation tente d’homologuer devant un tribunal une première décision qui ordonne le démantèlement des infrastructures informatiques en territoire agricole.La saga judiciaire n’est pas pour autant terminée. En entretien avec Le Devoir, Benoît Laliberté persiste et signe dans sa volonté de miner des cryptomonnaies : « Nous, on a une panoplie d’arguments à faire valoir. Puis, à l’issue de ça [si le jugement nous est défavorable], on a toutes sortes de recours, dont un appel de plein droit [de la décision]. » Même si cette portion-là qui est liée à nos dômes [infrastructures qui servent au minage de cryptomonnaies] n’est pas de l’agriculture au sens propre, nous, on conçoit ça comme un système accessoire de chauffage pour nos serres qui doivent être construites. — Benoît Laliberté Ses infrastructures de minage, soutient-il, font partie d’un projet plus vaste qui, lui, serait de nature agricole. À terme, la chaleur de ses installations devrait chauffer des serres de tomates, dit-il : « Même si cette portion-là qui est liée à nos dômes [infrastructures qui servent au minage de cryptomonnaies] n’est pas de l’agriculture au sens propre, nous, on conçoit ça comme un système accessoire de chauffage pour nos serres qui doivent être construites. »Or, quatre ans après le début du projet, il concède que les serres ne sont toujours pas installées, indiquant les avoir commandées il y a près de « deux ans et demi ».Questionné quant à la possibilité de devoir démanteler ses installations si la décision lui était finalement défavorable, M. Laliberté se montre confiant. « Nous, on est sûrs

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