Acheté bitcoin physique

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Author: Admin | 2025-04-27

Et faire comme si de rien n’était. C’est leur parole contre la vôtre.Internet est un bon exemple de décentralisation physique. Aucune entité ne possède le Web, c’est pourquoi il a provoqué un tel changement de paradigme.Mais, à ce jour, ses composants essentiels (hébergement de serveurs, services DNS, e-mail, moteurs de recherche, médias sociaux, cloud computing) sont toujours pris en charge par de grandes entreprises centralisées.Pour des raisons de maintenance, entre autres, ces services reposent sur un nombre limité de serveurs physiques ou virtuels. Ces architectures centralisées soulèvent toutefois des problèmes :Perte de fonctions en cas de panne des serveurs ;Vol de données en cas de piratage ;Perte de contrôle par l’utilisateur si ses données sont monétisées ou achetées ;Contenu biaisé par la censure ou la hiérarchisation basée sur les cookies.Le bitcoin fut la première mise en œuvre de la blockchain, et son objectif était de bouleverser la monnaie grâce à la décentralisation. La première transaction réelle en bitcoins a été effectuée en 2010 lorsque Laszlo Hanyecz a acheté deux pizzas à Jacksonville, en Floride, pour 10 000 BTC, soit l’équivalent de 63 millions USD au taux de change d’octobre 2018. Depuis on fête le Bitcoin pizza day.Absence d’entité de contrôleIl a dévoilé la possibilité de remettre en cause l’ensemble de l’institution de la banque centrale et de la gestion macroéconomique. Le bitcoin n’appartient à personne, n’est contrôlé par personne et fonctionne uniquement par consensus perfectionné.Comme expliqué dans le document de Nakamoto, son objectif est de résoudre les problèmes que nous rencontrons avec le système bancaire actuel – corruption, frais et confidentialité des transactions – par une mise en œuvre en quatre étapes :Technologie publique de registre distribuéCryptage par hachagePreuve de travailIncitations à la validationAbsence d’intermédiaireLes cryptomonnaies, combinées aux téléphones mobiles et à Internet, permettent de régler les transactions sans intermédiaire ni banque correspondante. Ces transactions restent parfaitement conformes aux normes KYC (Know Your Customer), AML (Anti-Money Laundering) et CTF (Counter Terrorism Financing).Au moment où vous lisez ces mots, des clients provenant de 55 pays différents peuvent utiliser des cryptomonnaies pour transférer des fonds qui, autrement, devraient passer par le processus

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